J'ai bien pensé à vous tous durant cette soirée où, malheureusement, je n'ai pas détecté une seule étoile filante, la lune que l'on ne voyait pas éclairait trop le ciel et c'est sans doute cela qui nous empêchait d'observer le va et vient de ces objets brillants identifiés.
Bref, je me suis mise à compter les avions et je me suis dit que c'était une vraie folie que toutes ces loupiotes, qui vont et viennent incessamment durant notre sommeil, qui clignotent dans les airs sans qu'on le réalise vraiment.
La nuit était fraiche, agréable, et l'été, à la campagne, le silence est vivant, animé par le chant régulier des criquets, qui prennent le relai des cigales du jour, on devine des frôlements par ci par là de bestioles, elles non identifiées, qui "treppent "comme on dit dans le sud, qui vadrouillent, à la recherche de leur pitance . Diva participait au jeu, les oreilles telles des capteurs de la NASA, détectant à son tour le papillon de nuit, ou la sauterelle qui ne trouve pas le sommeil.
C'est une saison de réception, il y a toujours au loin des rires qui fusent accompagnés d'un fond musical, on sent une ambiance heureuse , on reçoit les amis et les blagues doivent fuser entre deux verres de rosé frais.
La tête dans les étoiles c'est aussi l'occasion d'essayer d'y comprendre quelque chose dans toutes ces myriades de constellations, mais à part Le Grande Chariot, la Petite Ourse, Cassiopée et Orion, cela reste toutefois incompréhensible même avec une carte du ciel! C'est bien ainsi, je le crois, cela me fait gamberger, et ça finit par m'amuser de me trouver si nulle!
Immensité de l'Univers, tu m'aspires, à te regarder ainsi, je n'ai plus les pieds sur terre, et je pourrais m'imaginer glisser dans l'air de la Nuit.
Que ne sommes nous pas grand chose, infiniment minuscules dans ce dédale d'infini!
Cela me donne à chaque fois une leçon d'humilité, devant mes veines aspirations...et me remet sur pieds, légèrement grisée, en m'offrant une pincée de sagesse... jusqu'à la prochaine fois.
Ce soir je m'y remets, c'était trop bon!
Bref, je me suis mise à compter les avions et je me suis dit que c'était une vraie folie que toutes ces loupiotes, qui vont et viennent incessamment durant notre sommeil, qui clignotent dans les airs sans qu'on le réalise vraiment.
La nuit était fraiche, agréable, et l'été, à la campagne, le silence est vivant, animé par le chant régulier des criquets, qui prennent le relai des cigales du jour, on devine des frôlements par ci par là de bestioles, elles non identifiées, qui "treppent "comme on dit dans le sud, qui vadrouillent, à la recherche de leur pitance . Diva participait au jeu, les oreilles telles des capteurs de la NASA, détectant à son tour le papillon de nuit, ou la sauterelle qui ne trouve pas le sommeil.
C'est une saison de réception, il y a toujours au loin des rires qui fusent accompagnés d'un fond musical, on sent une ambiance heureuse , on reçoit les amis et les blagues doivent fuser entre deux verres de rosé frais.
La tête dans les étoiles c'est aussi l'occasion d'essayer d'y comprendre quelque chose dans toutes ces myriades de constellations, mais à part Le Grande Chariot, la Petite Ourse, Cassiopée et Orion, cela reste toutefois incompréhensible même avec une carte du ciel! C'est bien ainsi, je le crois, cela me fait gamberger, et ça finit par m'amuser de me trouver si nulle!
Immensité de l'Univers, tu m'aspires, à te regarder ainsi, je n'ai plus les pieds sur terre, et je pourrais m'imaginer glisser dans l'air de la Nuit.
Que ne sommes nous pas grand chose, infiniment minuscules dans ce dédale d'infini!
Cela me donne à chaque fois une leçon d'humilité, devant mes veines aspirations...et me remet sur pieds, légèrement grisée, en m'offrant une pincée de sagesse... jusqu'à la prochaine fois.
Ce soir je m'y remets, c'était trop bon!
J'ai détecté, n'étant pas plus savante, les mêmes constellations que toi !! Michel compte beaucoup sur l'arrivée de notre futur gendre, marin émérite, pour nous faire progresser ! Sauf qu'en général on oublie aussi vite qu'on nous a expliqué !! Quant aux cartes du ciel ! c'est tout un monde de rêves !
RépondreSupprimerMarrant nos deux billets car finalement les Perséides nous ont posé un lapin, la lune nous a joué des tours et il n'y avait guère à raconter ! Nous parlons des mêmes éclats de rires chez nos voisins, décidément l'été est gai !
Toi, tu en tires une bienheureuse leçon d'humilité !
Quant à moi, j'ai botté en touche !
Mais ce soir aussi je m'y remets ! Con te !
Con te partiro....
RépondreSupprimerScusami! Je me suis trompé de chanson!
Plutôt, "les étoiles les étoiles" de Mélody Gardot...
Pour moi, rien, rien, pas d'étoile, plus de lune, rien je vous dis!!!!!!!! A bientôt
Très belle description de cette saison qu'est l'été, de la liberté et du bonheur qu'elle nous apporte.
RépondreSupprimerMerci de nous le rappeler.
Linda