PARTAGEE
« Le projet Conversation
à Nice pour la place Masséna est une métaphore sur la relation entre les
différentes communautés qui font partie de la société d’aujourd’hui.
Sept figures représentant
les sept continents sont allumées de l’intérieur avec des lumières cinétiques.
Les sept œuvres passent doucement d’une couleur à l’autre en établissant un
dialogue entre les figures mêmes et avec les passants qui se promènent sur la
place.
La disposition des œuvres suit le parcours du tramway et donne une nouvelle lecture au voyageur
en mouvement, qui peut observer les sculptures comme autant de points de
repère. Comme les phares sur la
côte, les figures semblent veiller sur nous, nous protéger d’en haut. Sans
perturber le vide de la place, elles nous invitent à lever les yeux et
redécouvrir aussi le ciel de la ville. »
Jaume Plensa
Mars
2006
“La sculpture ignore la fiction. Elle n’est
pas affaire de matériaux, mais d’émotion.
Elle n’est pas affaire de volume ou
d’espace, mais de temps.”
Apaisante ...
RépondreSupprimerGros bisous
Marie-Ange
ressemblance avec la cheyenne à gauche!!!:))
RépondreSupprimerles photos précédents de la plage sont magnifiques!
Tout ce qui peut nous apaiser et nous aracher au tourbillon dans lequel nous nous laissons trop facilement prendre est bienvenu.
RépondreSupprimerMéditons donc un peu...
Bisous Martine
J'ai créé une rubrique "couillon avec un pigeon sur la tête" il est au top pour rentrer dedans. Bises
RépondreSupprimerJe trouve la nouvelle place Masséna très belle. Et je me suis finalement bien habituée à ces sculptures/lampadaires qui m'avaient un peu dérangé au début. Il m'a fallu un certain temps d'adaptation mais, comme on dit "il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis". Ahah.
RépondreSupprimerGros bisous et belle soirée arrosée
Les pigeons y trouvent toujours leur compte.
RépondreSupprimerC'est à la nuit tombante que la place Masséna prend toute sa dimension poétique.
RépondreSupprimerEn fait de pigeons, ce sont plutôt des mouettes souillent les sculptures de Jaume Plensa sur lesquelles elles aiment à se (re)poser.