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vendredi 6 novembre 2009

Anita Ekberg.



LA DOLCE VITA
palme d'or à Cannes en 1960

L’errance d’un journaliste de la chronique mondaine dans une Rome vouée au plaisir.
"Ce sentiment d’émerveillement, de stupeur ravie, d’incrédulité que l’on éprouve devant les créatures exceptionnelles comme la girafe, l’éléphant, le baobab", Fellini raconte l’avoir ressenti, lorsqu’il rencontre pour la première fois Anita Ekberg. Il prétend de plus qu’elle est "phosphorescente". Qualificatif bien fellinien dans son exagération et sa poésie, mais ô combien pertinent au souvenir des images qui se sont imprimées dans notre rétine. Anita flamboyante de blancheur dans sa robe noire, paumée du petit matin dans la fontaine de Trévi, ou déguisée en cardinal sur la terrasse de Saint-Pierre (énorme scandale à L’Osservatore Romano, le journal du Vatican, on parlera de brûler le négatif, de retirer son passeport à Fellini...).


2 commentaires:

  1. Merci Martine pour ce petit moment vraiment sympa grâce à la vidéo..
    Nino Rota et toutes ses musiques, les films de Fellini et le beau Marcello !!!
    J'ai bien envie de revoir un film de Fellini.
    Excellente journée
    Danielle

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  2. Ah! Fellini! Chacun de ses films est un chef d'oeuvre. J'ai préféré "Le satiricon"(c'est la seule fois où un film ne m'a pas déçue après avoir lu le livre), mais "La dolce vita" a gardé toute sa fraîcheur.
    Merci pour ce beau souvenir.
    Anne

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