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lundi 22 juin 2009

Trompe-l'oeil.


Devanture d'un luthier réputé à Nice.

En attendant ma fille pour l'essayage de sa robe de mariée, une courte balade dans le quartier de la République, une rue qui avait, il fut un temps, de nombreux commerçants allant du marchand de pâtes et raviolis aux chausseurs de luxe et prêt-à-porter en tout genre. Depuis la mise en place du Tram, beaucoup ont mis la clé sous le paillasson, une voie bien vide pour un samedi; il n'y a pas qu'à Venise que les commerçants disparaissent de certains quartiers populaires.

1 commentaire:

  1. Nos villes changent aussi en notre absence, comme des personnes qu'on n'a pas vues depuis longtemps. On ressent un pincement au coeur, on les redécouvre, on les aime différemment.
    Anne

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